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Le choix du Vivant
23Mar

2234

23 mars 2023 Marie-Hélène Straus Articles 13

2234 !

Il y a des dates, dans notre histoire commune, qui symbolisent de grands progrès et d’autres qui provoquent de grandes frayeurs.

2234 est sans doute celle que nous devrions toutes et tous retenir… 2234 semble à des années lumières, dans un monde où la vitesse est devenue un gage de modernité. Pourtant il semble que cette vitesse, qui nous dévore, ne concerne pas certains sujets managériaux !

Au rythme où vont les choses, il faudra, en effet, attendre 2234 pour que l’égalité des salaires entre les femmes et les hommes, soit enfin atteinte en France ! (Insaff El Hassani – avocate, experte internationale en égalité salariale).

Pourtant nous avons toutes et tous appris que depuis 1946, l’égalité femmes-hommes est un principe Constitutionnel qui garantit aux femmes, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux des hommes. Le droit Constitutionnel, ne concernerait-il pas les dirigeants d’entreprises ?C’est dans cette hypothèse que les gouvernements successifs ont promulgué depuis, pas moins d’une dizaine de textes de lois, pour tenter d’instaurer l’égalité des salaires entre femmes et hommes au travail !

En voilà, le résultat à la « une » de la presse économique en 2023* : les femmes, en France, gagnent en moyenne 15,8% de moins que les hommes, à travail comparable. (*Insee, Femmes et Hommes : une lente décrue des inégalités. Editions 2022).

S’agit-il vraiment d’une réalité misogyne ? ou finalement, notre « modus operandi » révélerait-il un mépris plus large : celui d’un dédain avoué envers nos institutions ?

Il est des sociétés qui n’ont ni Constitution, ni lois gravées dans le marbre, et que nous regardons comme un sujet anthropologique exotique, en les nommant : sociétés archaïques, sauvages …. Et pourtant !En rencontrant les sociétés autochtones de la Sierra Nevada de Santa Marta en Colombie, je leur ai demandé comment étaient considérées les femmes chez eux ? Leur réponse fut relative à leur vision globale du monde :
“Il n’y a pas de séparation entre homme et femme c’est un tout.
La femme c’est la terre, la nature, l’eau, la vie.
Pour nous, la vie se structure autour de deux énergies :
masculine et féminine.L’une n’existe pas sans l’autre”.

Puisqu’ils vivent en harmonie avec lois de la nature, depuis des millénaires, j’ai voulu connaître l’impact de cette complémentarité dans leur façon de travailler. Et là, j’ai reçu un cours magistral qu’aucune école de commerce ne m’avait transmise. Ils m’ont dit :
– Les femmes pensent : elles sont dans l’esprit des choses, l’intériorité́.
Elles représentent ce que vous appelez la stratégie.
– Les hommes parlent : Ils sont dans la matérialité́ des choses.
Ils représentent ce que vous appelez la communication.
Pour un(e) dirigeant(e) d’entreprise, la stratégie vaudrait-elle moins que la communication ?

Sérieusement, avons-nous besoin de lois, pour qu’un(e) dirigeant(e) d’entreprise décide de vérifier puis de valider l’égalité des salaires, au sein de sa propre société ?Quel “patron” voudrait laisser en héritage ce type d’affront envers l’humanité ?

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23Fév

Actif ou passif, face au virtuel …?

23 février 2023 Marie-Hélène Straus Articles 16
L’incroyable déploiement planétaire de l’information, nous ouvre l’esprit à de multiples sujets, souvent avec beaucoup d’avance. Mais quel en est le but ? Si, au final, nous préférons nous enfoncer la tête dans le sable, comme nos amis du genre Struthio (comprenez ici : les autruches) ?

Notre monde moderne, nous offre l’opportunité prodigieuse de faire un choix vivant, en agrégeant les facteurs nécessaires à notre propre évolution : Capacité d’adaptation + information. Alors actif ou passif ?

Depuis les années 60 nous entendons parler de l’IA. Aujourd’hui le terme d’« intelligence artificielle » est entré dans le langage commun.
Devenue banale dans les média, elle semble pourtant encore questionner certains secteurs, comme l’éducation. Et quand est-il dans les entreprises ?Depuis 2010, les études prévoyaient, sans aucun doute possible, les mutations qu’entrainerait l’essor informatique…Une décennie plus tard, qu’en avons-nous fait ? Quelles anticipations avons-nous mises en place ?Si pour certains, il s’agit encore de pure science-fiction… le lancement de ChatGPT, nous propulse dans un monde, tout à fait réel, où il est urgent de nous préparer à ce bouleversement.

Tous nos commentaires ne changeront pas le fait que l’IA va avoir un impact significatif sur les entreprises tant au niveau de l’efficacité, de la productivité, des décisions, de la personnalisation de la clientèle, et de la création de nouveaux modèles commerciaux.

Nous savons déjà, qu’inévitablement, elle va causer des perturbations pour les employés, en termes de remplacement par des robots, sans compter les conséquences éthiques et légales à prendre en compte.

Bien-sûr, les “bons penseurs”, souvent celles et ceux qui ne veulent rien changer, vous diront, que « rien ne sert de s’inquiéter car la créativité, l’intuition et les décisions complexes ne peuvent pas encore être entièrement remplacées par l’IA ».

Et si, au lieu de mettre “la tête dans le sable”, de trouver des subterfuges mentaux qui nous rassurent, nous prenions le temps d’anticiper et
d’intégrer ? 

Au milieu de nos quotidiens débordés entre « l’important et l’essentiel »,  serait-ce une perte de temps que :

1- Évaluer les opportunités de l’IA pour notre entreprise et, déterminer comment elle peut améliorer les opérations, les produits et les services.
2- Mettre en place une stratégie claire pour intégrer l’IA et les régulations nécessaires.
3- Former et développer les compétences des collaborateurs pour travailler avec l’IA.
4- Collaborer avec les parties prenantes internes et externes, pour déterminer les meilleures pratiques.
5- Surveiller les performances de l’IA, pour adapter la stratégie en maximisant les avantages et minimisant les risques.

Faire le Choix du Vivant, c’est sans doute, accepter chaque jour d’évoluer, de bousculer nos habitudes, nos croyances, et surtout accepter que c’est en faisant “AVEC”, et non pas “contre”, que l’évolution pourra être synonyme d’espoir.

 

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23Fév

4 bonnes résolutions, pour bien finir l’année …

23 février 2023 Marie-Hélène Straus Articles 16

La fin d’année est toujours une période de grande fatigue. Charge de travail, bouclage des engagements, manque de soleil et de chaleur …. Pour les cadres, s’y ajoutent fréquemment un épuisement professionnel et un stress intense. Mais cette année, l’Apec nous alerte sur un autre fléau : la dégradation de la santé mentale des cadres ! *
 
Ce constat se cumule avec un désir grandissant, intergénérationnel, de préserver un équilibre entre vie professionnelle et vie privée.  Notre souhait, par ces news Le Choix du Vivant, est de vous rappeler de manière simple, les bonnes pratiques, à la disposition de tous. Entre subir ou choisir, nous souhaitons vous permettre de choisir. 
 
Pour clôturer 2022, nous vous partageons « 4 astuces » pour améliorer votre équilibre. Bien-sûr, celles-ci viennent s’intégrer à notre précédente recommandation sur les bienfaits d’une promenade en forêt !

Peut-être, vous direz-vous que c’est juste du bon sens… mais si on tentait l’expérience, réellement, en cette fin d’année ?

Une jolie façon de mettre du “nouveau” dans notre quotidien, et ainsi éviter de finir l’année “sur les rotules” !

  1. Planifier sa journée de travail. Limiter l’étirement du temps de travail en se fixant des horaires (si besoin faîte sonner un réveil !). Cela permet de priorisez les tâches de chaque jour, pour ne pas se faire envahir par les détails, et parfois, pouvoir optimiser les tâches répétitives.
  1. Identifiez ses besoins. Si votre esprit réclament  des pauses ? si votre corps à besoin de faire de l’exercice ? si un appel avec vos proches est nécessaire ? Connectez-vous avec vos émotions, pour choisir ce que vous vous sentez capable de sacrifier, ou pas.
  1. Savoir se déconnecter. Physiquement : lorsque la journée de travail est terminée prenez l’habitude de déconnecter** vos « objets » (ordinateurs, téléphones, montres …). Psychiquement : avec le télétravail, les bienfaits régénérant du changement de contexte ont disparu, alors créez-vous un « rituel » de déconnexion personnel.
  1. Choisir une activité et garder un temps dédié pour cette activité, qu’elle soit culturelle, artistique ou manuelle. Évacuer la pression est nécessaire chaque jour ! D’une simple promenade à un cours de gym, intégrez cette activité, dans votre planning quotidien.
Nous sommes tous concernés par ces simples principes, au risque de l’épuisement mental et physique.
Le télétravail ne fait que renforcer notre besoin de modifier ou d’adapter, nos habitudes quotidiennes. Ces 4 astuces sont une façon efficace, de limiter les sentiments d’anxiété, voire de culpabilité, par rapport de notre vie privée. Le monde professionnel évolue, notre façon de l’appréhender doit s’adapter.
Les stimulations répétées et prolongées, sans possibilité suffisante de se « changer les idées » ou de prendre du temps pour soi, conduisent à une usure rapide des ressources psychiques, physiques et nerveuses.Ces 4 astuces sont notre façon, de vous souhaiter une belle fin d’année 2022.* Étude sur la santé mentale des cadres en 2022 – Apec 12 septembre 2022
 
** Loi n°2016-1088 du 8 août 2016 – art.55 (V) – Les modalités du plein exercice par le salarié de son droit à la déconnexion et la mise en place par l’entreprise de dispositifs de régulation de l’utilisation des outils numériques, en vue d’assurer le respect des temps de repos et de congé ainsi que de la vie personnelle et familiale. A défaut d’accord, l’employeur élabore une charte, après avis du comité d’entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel. Cette charte définit ces modalités de l’exercice du droit à la déconnexion et prévoit en outre la mise en œuvre, à destination des salariés et du personnel d’encadrement et de direction, d’actions de formation et de sensibilisation à un usage raisonnable des outils numériques.

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21Oct

Retrouver l’équilibre

21 octobre 2022 Marie-Hélène Straus Articles 23

Pandémie, guerres, feux de forêts, dérèglement climatique, la pression vient de partout et pas seulement du travail ! Dans cette époque bousculée qui est la nôtre, la quête d’un équilibre stabilisant se fait de plus en plus pressante.

A l’opposée de notre rythme quotidien effréné (cette course incessante, que Pascal nommait dans ses pensées : “le divertissement”), les hommes modernes, que nous sommes, vivent séparés de la nature, et se privent de l’un de ses nombreux bienfaits, maintenant démontré scientifiquement.

Bien que la sylvothérapie ne soit pas une science reconnue en France, elle est assimilée à un véritable art de vivre au Japon. Chez nous, elle reste une pratique alternative dite médecine « douce », mais croyez-nous, elle vaut la peine d’être connue !
Le mot sylvothérapie ou « bain de forêt » naît de l’association entre deux mots latins : « silva » qui signifie « forêt » et « therapeia » qui signifie « soin ».

L’origine officielle de cette pratique remonte en 1982 quand l’agence forestière du Japon intègre le “Shinrin-yoku” (sylvothérapie en japonais) dans ses préconisations pour avoir une excellente hygiène de vie, suite aux premiers travaux du Professeur Yoshifumi Miyazaki.

Au début des année 80 le professeur et chercheur Yoshifumi Miyazaki, démarre ses études scientifiques sur les bains de forêts. A partir de l’année 2000 et durant 10 ans, il va procéder à la plus importante recherche jamais menée sur le sujet sur 280 puis 700 volontaires, à travers 24 sites forestier. Les résultats biologiques*, sont sans appel :
Si, nous regardons une forêt, assis pendant 15mn, voici ce qui se passe dans notre organisme :
  • -13% de taux de cortisol. (Hormone du stress physique et/ou émotionne)
  • -6% de rythme du pouls.
  • -1,7% de pression artérielle systolique. (Valeur de la pression dans l’artère au moment de la contraction de notre coeur)
  • -18% de l‘activité sympathique. (Celle qui prépare l’organisme à l’activité. Lors d’un stress, il coordonne la réponse de fuite ou de lutte. Il dilate les bronches, accélère l’activité cardiaque et respiratoire, augmente la tension artérielle, dilate les pupilles et augmente la transpiration.)
  • + 56% de l’activité parasympathique. (Celle qui ralentit les fonctions de l’organisme dans un objectif d’économiser de l’énergie. Le système parasympathique agit principalement sur le calme, la digestion, la croissance, la réponse immunitaire, les réserves énergétique)

 

Si, maintenant, nous marchons lentement dans une forêt, voici ce qui se passe dans notre organisme :
  • -16% de taux de cortisol.
  • – 3,9% de rythme du pouls.
  • -19,4% d’activité sympathique.
  • +100% d’activité parasympathique.

Les conclusions du professeur suite à ses nombreuses études semblent pleines de sens : « Nous avons vécu 99% de notre histoire dans la nature depuis l’apparition du genre hominidé il y a sept millions d’années. Nos paramètres physiologiques se sont adaptés à cet environnement, nous ne pouvons pas faire face à une urbanisation aussi rapide ».

Le peuple indigènes de la Sierra Nevada de Santa Marta, à l’origine de nos travaux, sur “Le Choix du Vivant”, nous répètent inlassablement que nous avons oublié, que “nous sommes des êtres de nature et que nous devons vivre en harmonie avec elle“. Un oubli qui aujourd’hui semble nous mener dans une impasse vertigineuse.

Intuitivement, nous savons bien qu’effectuer une marche dans la nature nous fait du bien … alors, à quand votre prochain Team-Building dans la forêt ?

* Park, B.J.,et al., “The physiologie effectsof Shinrin-yoku” / Tsunetsugu Y., Park B.J., Miyazaki Y., “Trends in research related to Shinrin-yoku”. / “Environmental Health Preventive Medicine” vol 15.
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21Oct

L’Huitre et le Citron – Du désengagement à l’enthousiasme.

21 octobre 2022 Marie-Hélène Straus Articles 23

Que vous soyez ou non amateurs d’huitres, l’impact d’un filet de citron, négligemment pressé au-dessus d’une huitre ne vous aura sans doute pas échappé. L’effet est immédiat. L’acidité du citron, provoque la rétraction, le repli, la contraction et la fermeture du mollusque.

Étonnamment, le même phénomène se produit dans les entreprises. Il ne s’agit plus alors de filet de citron et d’huitres, mais de brutalités verbales – de conflits – de tensions chroniques – de changements récurrents et incompris – de surmenage – de sentiment d’isolement – de manque de reconnaissance – ou d’ambiance délétère, qui provoquent pour les hommes et les femmes d’une organisation rétraction, replis, contraction et fermeture.
Un phénomène qui a tendance à s’amplifier dans la période de crise et d’incertitude que traversent aujourd’hui nos sociétés modernes.

Etrangement de telles situations de mal-être et de replis, et au final d’inefficacité, sont beaucoup plus fréquentes que l’on pourrait le penser.
Et plus étrange encore, nombreux sont les dirigeants, managers, qui au pire ne s’en rendent pas compte, au mieux, ne savent pas comment réagir.

Si l’on admet qu’une organisation est une forme vivante parmi d’autres, la multiplication de ces situations de replis, contractions, fermetures, dans un corps social en général, une entreprise en particulier, est donc le signe d’organisations en train de dépérir, de se réifier, et au final de perdre ses capacités d’adaptation et de création.

 

Deux voies possibles s’offrent alors aux dirigeants et/ou managers :

  • La première, tenter de compenser le manque de réactivité et d’autonomie créatrice des équipes, en déployant plus d’énergie et en faisant preuve de plus d’autorités.
  • La seconde, se poser quelques instants dans un espace calme, et se poser quatre questions :
  1. Cette situation peut-elle perdurer longtemps, sans conséquences graves pour l’entreprise et le bien être des collaborateurs ?-
  2. Est-elle propice aux besoins de créativité et d’autonomie qu’appelle notre époque et les évolutions volatiles des marchés ? 
  3. En quoi l’évolution de ma posture managériale peut-elle changer les choses ?
  4.  Enfin, si l’on admet que ce qui sépare les huitres des sociétés humaines, c’est peut-être la conscience « d’être », que puis-je faire ?

Il n’est point la peine de chercher une nouvelle méthode ou des outils miracles… mais juste se souvenir, que le vivant qu’il s’agisse d’une organisation ou des humains, qui la font vivre, répondent à des besoins précis, pour fonctionner au mieux de ses capacités et libérer ses potentiels.

Ce que le dirigeant ou le manager peut donc faire : 
  • Ouvrir des espaces de confiance, ou les difficultés, les malentendus, les tensions, peuvent être posées et résolues.
  •  Mettre en œuvre des modalités « dynamiques », d’animation de réunion, qui permettent de gagner en efficacité et en bien être.
  •  Proposer et animer un système de valeurs, nécessaire pour soigner la relation et dynamiser une organisation.
  •  Et bien sûr, donner et incarner un sens, une direction, qui permettent aux différents collaborateurs de converger au service d’une intention et d’un objectif commun.
Confiance, sens, valeurs, mais aussi, altérité, mémoire, systémie, sont des principes qui vivant, qui une fois identifiés et misent en place, peuvent contribuer à libérer les potentiels d’autonomie, de responsabilité de liberté et donc de créativité des collaborateurs.
Certains pourraient être tentés de penser que c’est là une perte de temps, à ceux-là nous pourrions répondre que c’est une condition de survie !A la question d’un journaliste, qui lui demandait quel était le rôle du chef, Gustavo DUDAMEL chef d’orchestre d’origine vénézuélienne, a eu cette très jolie réponse : « Il doit ouvrir des espaces de liberté, afin que chacun puisse contribuer à l’œuvre commune »
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22Nov

Rendre l’avenir fécond

22 novembre 2021 Marie-Hélène Straus Articles 23

Entre le rapport du GIEC sur les conséquences du dérèglement climatique, la pandémie du COVID-19, le rapport au travail et la place qu’il occupe dans nos vies, les questionnements qui nous submergent semblent vertigineux…

Il nous semble intéressant de se poser la question du rôle que peuvent jouer les organisations, et principalement leurs leaders, pour déclencher des surgissements de propositions créatives, dans un monde qui en a cruellement besoin.Il y a une urgence… celle de DEVENIR créatif ! dans nos modes de fonctionnement, dans nos idées, et surtout dans nos façon de piloter des équipes.
Pour rappel, Albert Einstein nous confirmait que : “La définition de la folie, c’est de refaire toujours la même chose, et d’espérer des résultats différents”.Avons-nous aujourd’hui des managers / des leaders, qui savent développer et favoriser la créativité de leurs équipes? Une question qui devient vitale, pour les organisations qui souhaitent être pérennes.

Il n’est pas rare de constater qu’en entreprise, beaucoup utilisent encore des techniques, du siècle dernier, pour que leurs équipes SOIENT créatives : brainstorming, dodécaèdre, synectique, technique du concassage, technique dite « analogique », etc ….

On compte aussi parfois sur la Sérendipité – ce hasard créatif qui a donné le jour entre autres, au micro-ondes ou encore à la pénicilline.

Nos scientifiques expliquent que nous possédons des « neurones miroirs » qui nous permettent d’agir par mimétisme.  Encore faut-il avoir a regarder des êtres inspirants … ou sont donc les Hommes d’exceptions qui nous inspirent et activent nos désirs ?
Suis-je un Manager inspirant qui donne envie aux talents de demain de se joindre à mon équipe ?

Si le progrès, notamment en matière de maitrise technique, et d’évolution ont favorisé le confort, la vitesse, et l’allongement de la durée de vie, pouvons-nous pour autant dire que nous vivons mieux ? Plus heureux ? Plus sereins ?
N’est-il pas curieux de constater que le taux de dépressions et de burn-out ne cesse de croître ?

Les Kogis, ce peuple racine de la Sierra Nevada en Colombie, nous ont dit de regarder les plantes et les animaux… on appelle cela chez nous, le biomimétisme. Mais ils ont été plus loin, en nous expliquant qu’il fallait tout d’abord que le groupe, soit suffisant mature pour DEVENIR créatif, certains dirait pour développer l’Intelligence collective. Lorsque 1+1 = 3
Les représentants des dernières « sociétés racines », encore en lien avec la vie, feraient-ils partie des sages et autres humains d’exception, à même de nous inspirer ?Nous croyons que oui, car ils sont sans doute les derniers représentants d’une altérité pérenne dans le temps, qui questionne notre monde moderne.
Les Kogis nous appellent les « Petits Frères » car pour eux, nous ne sommes encore que des enfants qui jouons aux « apprentis sorciers ».

“Conscience, observations et intentions conditionnent les manifestations auxquelles nous donnons forme“, nous expliquent-ils. N’avons-nous pas besoin de changer de regard, pour repenser les choses ? Et particulièrement en management ?

L’un des plus grands créatifs ayant existé : Léonard de Vinci, a dit :

« Sachez-vous éloigner car, lorsque vous reviendrez à votre travail, votre jugement sera plus sûr. »
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22Sep

Les fausses bonnes idées

22 septembre 2021 Marie-Hélène Straus Articles 21
A l’occasion de cette rentrée, et en ces temps perturbés, nous avons souhaité bousculer quelques idées reçues. L’occasion peut être de vous donner le sourire et de pratiquer la posture nécessaire pour faire le choix du vivant. Centrage – Intentions – Discernement – Humilité et Humour !

Cette lettre sera donc centrée sur l’humour et sur le sourire que nous espérons vous apporter, durant ces quelques instants de lecture.Nos esprits sont remplis de fausses bonnes idées, dans de nombreux domaines et même en management ! Nous vous en avons sélectionné un petit florilège.

1- Des collaborateurs qui restent tard au bureau, c’est bien ! …. oui mais 
Partir plus tôt reste mal vu ! Il serait pourtant faux de croire que le présentéisme est bénéfique … Il coûte plus cher à l’entreprise que l’absentéisme. Même si l’on peut penser être mieux considéré en restant tard, au fil du temps de longues journées font perdre en efficacité. Selon le scientifique Ron Goetzel (Directeur de L’Institute for Health and Productivité Studies) le présentéisme représente suivant le secteur d’activité, entre 20% et 60% des frais de santé d’un collaborateur. Il serait sans doute plus rentable de soutenir la qualité, que la quantité !

2- J’éteins mon ordinateur tous les soirs pour économiser l’énergie.

C’est une action de bon sens ! Mais, c’est sans compter sur l’énergie grise ! Les équipements électroniques de dernière génération sont si peu énergivores que l’on dépense bien plus d’énergie lors de leur fabrication que lors de leur utilisation.
C’est donc en allongeant la durée de vie d’un smartphone ou d’un ordinateur portable récent, que l’on économise de l’énergie plutôt qu’en l’éteignant toutes les nuits. Peut-être un concours à organiser entre collaborateurs ? que votre budget appréciera !
3- Garder un salarié « non productif » est une preuve d’altruisme.
Laisser une personne dans un rôle qui ne lui convient plus, provoque un risque majeur pour l’ensemble de l’équilibre du système.
Au-delà de l’incompréhension des autres collaborateurs, cela influe sur l’efficacité et la motivation de tous.  Sans compter la perte de confiance en soi, provoqué chez la personne qui se sent devenue inutile. Avoir le courage des décisions justes, permet de sauvegarder la durabilité du système.

 4- Au bureau : eau en bouteille ou eau du robinet ?

“Très clairement, eau du robinet“, répond le professeur Deray (Chef de service Néphrologie, de la Pitié Salle Pétrière)  rappelant que l’eau du robinet est l’aliment le plus contrôlé au monde.”De plus la majorité des eaux minérales en bouteille n’ont aucun minéraux. Quelques unes se vendent beaucoup pour le magnésium, mais quel est l’intérêt d’acheter une eau minérale, de la payer 300 fois le prix de l’eau du robinet, alors qu’avec une petite portion d’épinards vous aurez plus de magnésium que dans votre litre d’eau en bouteille ?“. Dans l’eau du robinet, “vous avez en moyenne 80 milligrammes de calcium par litre, ce qui est tout à fait recommandé pour la santé“. Sans compter les 90 milliards de bouteilles en plastique qui sont fabriquées chaque année pour l’eau, qui se retrouvent dans la nature. Or, il faut 500 ans pour dégrader une bouteille en plastique. Offrez-vous une jolie gourde en verre, et placez-y un morceau de charbon. Un joli cadeau de rentrée pour vos collaborateurs !
5- Les « Open-Spaces » facilitent les échanges.
Autrefois perçus comme une « évolution organisationnelle révolutionnaire » , les “Open-Spaces” devaient favoriser les échanges et améliorer la production grâce à la proximité des collaborateurs. La chute des cloisons à surtout diminuer les budgets d’aménagements de bureaux et d’espaces de travail (-30% en moyenne).
L’Étude de Harvard Business School réalisée par Ethan Berstein et Stephen Turban à mis en lumière les conséquences de cette évolution révolutionnaire. 
Chute des interactions entre les employés, qui pour limiter les décibels, se sont mis à privilégier les emails et les messageries instantanées, alors même qu’ils étaient en face à face. Les résultats de l’étude, démontrent qu’en “Open-Space” les collaborateurs ont envoyés +56% d’emails, ont reçu +20% de messages et ont été mis en copie +41%. 
Le résultat : une productivité qui diminué de près de 60%, liée au manque de concentration dû au bruit incessant, au stress généré par le sentiment d’être épié constamment, sans oubliée une augmentation de 85% des arrêts maladies, suite à la propagation plus aisée des microbes. La crise sanitaire aurait-elle enfin permis de se re-questionner sur les espaces de travail ?
6- Mettre en place une boite à idée encourage la motivation. 
Encourager chacun à participer à l’innovation est une bonne idée bien sûr, mais si elle reste sans suite, elle se tournera en très mauvaise.
Le management participatif dans son ensemble est à encourager. Pour autant que l’on tienne compte des idées des collaborateurs. Sinon vous déclenchez désillusions, frustrations et démotivation… mieux vaut alors s’abstenir !
Pourquoi ne pas organiser chaque année, une journée dédiée à un séminaire de créativité ? surement plus facile à gérer et moins chronophage !
 
 7- La « Vision » d’une entreprise sert de Roadmap.
La construction d’une Vision d’entreprise, par l’équipe dirigeante est avant tout un moyen de souder les collaborateurs et de donner du sens à leurs actions.
Une Vision qui reste dans la tête ou les tiroirs des Dirigeants n’aura aucun effet sur l’adhésion à un projet commun.
En cette rentrée, choisir le Vivant pour son organisation / ses équipes, peut nécessiter de ré-actualiser sa vision d’entreprise / d’équipe, et la repartager avec l’ensemble des collaborateurs, 
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28Juil

Masculin & Féminin : l’entreprise de demain est genrée

28 juillet 2021 Marie-Hélène Straus Articles 30
Comme l’INSPIRE et l’EXPIRE sans lesquels la vie ne peut advenir, ce qui fait la force et la culture d’une entreprise, d’une organisation, d’un territoire : c’est la capacité de ses dirigeant(e)s à identifier et accompagner les dimensions masculines (inspire) et féminines (expire) dans leurs organisations.

Il ne s’agit ni de provocation ni d’une nouveauté marketing que de l’affirmer, c’est juste observer le vivant et faire œuvre de bon sens.

« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas,
c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles ». Sénèque

La dimension masculine se concentre, le plus souvent, dans l’avoir, (du pouvoir, de la reconnaissance) le faire, le mesurable, l’efficace, le volontarisme, le contrôle,  la réaction, le visible et la capacité de projection. Un management qui se caractérise par une « position haute » (je sais), liée à une réelle force d’agir sur... (Les autres, les clients, le monde).

La dimension féminine se retrouve, le plus souvent, dans l’être (le centrage, l’accueille), le « permettre d’agir », et toutes les dimensions invisibles d’une organisation, l’intentions, les relations, les postures, la créativité, l’écoute des signaux faibles. Un management qui se caractérise par une « position basse » (j’écoute), liée à une réelle force d’agir avec… (Les autres, les clients, le monde).

Pour le dirigeant, sous couvert d’efficacité, ne manager, ne travailler et ne parier que sur la dimension « masculine », c’est affecter beaucoup d’énergie pour « tirer », « entrainer », des acteurs plus ou moins convaincus, plus ou moins obéissants, plus ou moins motivés.

C’est faire l’impasse sur les « en-vies », les potentiels intrinsèques d’une organisation. Alors les non-dits sont nombreux, la fluidité limitée, la motivation faible, l’efficacité réduite et la créativité amputée. Rééquilibrer les dimensions féminines et masculines d’une organisation, c’est soigner les relations, ouvrir des espaces d’expression et d’appropriation, permettre la juxtaposition des apports de chaque dimension. Dans la complémentarité des énergies associées, il est possible partager les “motifs de l’action” (motivation) et ainsi mettre en mouvement les collaborateurs / collaboratrices. 

Si pendant de longues années, au prix de nombreux burnouts, dysfonctionnements, maltraitances managériales, le volontarisme masculin a pu donner l’illusion que la dimension féminine n’était pas nécessaire, dans l’époque de crise majeure qui est la nôtre, un tel rééquilibrage n’est pas juste affaire de mode, il est vital !

Plus le masculin et le féminin seront rééquilibrés dans le monde de l’entreprise, plus la diversité sera source de créativité pour les solutions de demain.

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25Juin

Le management hybride, une évolution délicate.

25 juin 2021 Marie-Hélène Straus Articles 29

Le Management Hybride, une évolution délicate

Cette année de crise dévoile un chiffre inquiétant, celui du nombre de “Burn-out” qui à plus que doublé pour les salariés depuis le début de l’épidémie. 2 Millions de salariés ont été, ou sont aujourd’hui, touchés par ce fléau, comme le révèle Opinion Way en mai 2021, dans son baromètre : “Impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés“

Si les collaborateurs sont concernés, les managers quant à eux sont touchés 1,5 fois plus, que les collaborateurs. Gérer de manière asymétrique des équipes (à distance et en présentiel) n’est donc pas un phénomène neutre. Il pourrait être imprudent de la part des entreprises, de laisser passer cette évolution délicate, sans proposer soutien, aide et accompagnement à leurs managers. Encore faut-il comprendre les phénomènes managériaux qui sont en jeux :

 

4 phénomènes se superposent. 

Ils impactent la santé psychologique et physique des managers, et freinent la performance.

 

1- Une hyper-connexion exponentielle

L’accélération de la transformation numérique, dans les habitudes de travail, avait déjà réduit le frontière entre vie privée et vie professionnelle.
Mais la prolifération des visioconférences à outrance, a engendrée un ajout de fatigue visuelle (liée à des journées devant les écrans), provoquant un paradoxe d’interconnexions trop intense (gros plans sur les personnes) mais trop pauvre dans la qualité de la communication (Régle des 3V – 7% de la communication passe par les mots, 38% par la voix et 55% passe par les expressions du corps et du visage).

2- Une dilution de la cohésion des équipes

Jusqu’à cette crise, le cadre de travail était matérialisé et délimité dans un espace physique, qui à lui seul, contribuait à créer un espace symbolique du “ cadre managérial“. Le travail à distance a abolit ce cadre physique, laissant le manager dans l’obligation d’articuler en permanence des relations entre les collaborateurs physiquement présents et ceux à distance. Gérer, au quotidien, deux formes de management, délite les efforts engagés pour maintenir une cohésion d’équipe.

 3- Un multitasking permanent

En plus de son travail quotidien, de la pression des résultats difficiles à obtenir en période de crise économique, le manager s’est vu ajouter la responsabilité de maintenir le cadre, la motivation, et le suivi de son équipe, en restant au plus près de ses collaborateurs. Une tâche titanesque à assumer, alors même qu’ils sont eux mêmes seuls, face à leurs ordinateurs.

 4- Des lieux et des horaires de travail sans limite

A la maison, au bureau, dans des open-spaces ou des espaces de coworking … chacun a tenté de trouver des solutions pour s’adapter à cette crise sanitaire. Mais tous n’ont pas pu bénéficier d’un cadre favorisant la concentration. Etre à la maison en famille ou dans des espaces ouverts, en restant concentré lors de visioconférences, ne peut qu’entraîner une fatigue suplémentaire au stress déjà présent.

 

Une évolution majeure, qui ne peut rester sous silence.

Cette nouvelle forme de management requiert une véritable prise en compte des nouveaux enjeux, de la part des dirigeants ainsi que des départements Ressources Humaines, dans chaque entreprise.

Comme pour l’entreprise, pour s’adapter, le Vivant, la nature, s’appuie sur des principes concrets et pragmatiques. 9 principes à la base de la vie, qu’il est plus que jamais nécessaire d’identifier, de partager et de mettre en oeuvre.

Former et accompagner les acteurs de cette nouvelle forme de Management est une priorité, pour toutes celles et ceux qui veulent faire de la résilience, une force pour demain . Alors, rencontrons-nous !

“La folie c’est de refaire tout le temps la même chose, et de s’attendre à des résultats différents”
Albert Einstein.
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23Mai

Du « Je » au « Nous »

23 mai 2021 Marie-Hélène Straus Articles 32

Lorsqu’il doit s’adapter, 

le vivant invente de nouvelles organisations

et vous ?

Le passage de l’ego-système (moi au centre – vie auto-centrée) à l’éco-système (nous ensemble – vie en société), est directement observable dans le fonctionnement de certaines amibes terrestres.

Ces être monocellulaires mènent une existence indépendante, sans contact avec leurs congénères, tant que la nourriture disponible est suffisante.

Mais si elles viennent à manquer, les amibes se mettent à secréter une substance qui les attire les unes vers les autres. Elles vont alors s’agglomérer et se transformer en un organisme d’un nouveau type – pluricellulaire – doté de nouvelles fonctions.

« Ce qu’il y a de remarquable c’est que la substance produite par les amibes, au moyen de laquelle elles s’attirent afin de former un être social pluricellulaire, n’est autre qu’une substance chimique (l’adénosine monophosphate cyclique) qui commande la communication entre les cellules des êtres pluricellulaires »

Nous sommes tous des cannibales – Claude Levi-strauss – Seuil 2013

 

Il faut attendre 1970 et les travaux de la microbiologiste Lynn Margulis, pour découvrir que la capacité des bactéries à se regrouper pour coopérer est à l’origine de l’émergence des cellules de tous les êtres multicellulaires, dont l’espèce humaine.

Aujourd’hui, homologuée par la communauté scientifique, la théorie de l’endosymbiose démontre que ces petites unités simples, que sont les bactéries, ont trouvé le moyen de s’associer afin de contribuer à créer une organisation plus complexe et plus performante.

Dans cette période d’incertitude que nous traversons, on ne peut manquer de se demander, si les humains, ces animaux pensants que nous sommes, sauront en conscience, ouvrir les espaces de dialogues nécessaires pour repenser leurs fonctionnements, vers plus de communication et de collectifs ? ou s’il leur faudra attendre la rareté, les contraintes et l’accroissement des déséquilibres, pour engager les transformations qu’appellent notre temps.

Saurons nous faire le choix du vivant et prendre conscience de ces principes de vie, qui permettent à une organisation de vivre, se développer et s’adapter ?

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